Ñ A M A N D U
Le spectacle
““L’auteur-compositeur-interprète et docteur en philosophie Arriola est l’un des artistes émergents parmi les plus intéressants de la chanson francophone d’Amérique””
DESCRIPTION DU SPECTACLE
Avec ÑAMANDU, Arriola nous présente un tout nouveau spectacle conceptuel basé sur son plus récent album du même nom paru en octobre 2022. Le concept du spectacle et de l’album est librement inspiré du mythe de la création des autochtones guaranis du Paraguay, son pays d’origine, par analogie avec son histoire familiale. Musicalement, nous nous trouvons ici aux limites de la chanson, de l’électro-pop et du rock psychédélique francophone. À la fois auteur-compositeur-interprète et docteur en philosophie, Arriola ne se contente pas seulement de jouer les 10 pièces de l’album : il nous invite à prendre part à une expérience psychédélique hors du commun ponctuée de réflexions philosophiques et de moments musicaux spécialement conçus pour la scène. Pour ce faire, il sera accompagné de 4 musiciens dans une mise en scène construite autour d’un jeu d’éclairage finement élaboré visant à évoquer de manière poétique l’histoire des origines de l’univers.
CE QU’ILS EN DISENT
“« On se tourne maintenant vers un des artistes émergents parmi les plus intéressants de la chanson francophone d’Amérique. C’est Arriola qu’on va entendre. Il a lancé un premier album en carrière […] C’est un album-concept sur lequel il travaille depuis plusieurs années. […] C’est un gars qui est libre, mais qui est […] bien structuré en même temps. Et sa structure vient de son intérêt autour du mythe de la création des autochtones Guaranis du Paraguay. […] Le résultat, […] c’est un résultat qui est clair et fier. […] Donc c’est une demie-heure qui transporte dans une espèce de voyage philosophique, et ce n’est pas étranger au fait […] que c’est un docteur en philosophie. […] Chaque pièce s’enchaîne avec un rideau musical. C’est bien chiadé. […] Si vous écoutez ça, vous allez constater que chaque pièce est un peu comme un tableau. Et ça fait un collage qui est audacieux. Et puis sur le plan des différents sons, des différentes structures musicales, bien on galope entre chanson, entre électro-pop, il y a aussi une dégaine assez rock. […] »”
“« Ñamandu - 8.9/10
[…] Il a un chant qui parfois fait penser à un jeune Richard Séguin qui sied parfaitement avec les bouts de chansons qui vont parfois ressembler à du Pink Floyd, Harmonium ou les Beatles avant de retomber dans un style éthéré ou au rythme léger. Il y a aussi, entre autres, la pièce “Colibri” qui me fait penser à du vieux Pink Floyd ou du vieux Porcupine Tree. […] Étant enregistrées expressément pour le vinyle, les pièces s’enchainent avec fluidité, racontant la Création de l’arbre Ñamandu jusqu’au Déluge et la baisse des eaux. Chaque pièce a un petit moment fort et la production est impeccable. Tendez l’oreille! »”
“« On découvre Arriola, un auteur-compositeur-interprète, docteur en philosophie qui est montréalais et natif du Paraguay, ce petit pays enclavé entre l’Argentine, le Brésil et la Bolivie où la scène culturelle est apparemment très foisonnante. Arriola a lancé son premier long-jeu en carrière à la fin du mois d’octobre. C’est un album-concept qui s’inspire du mythe de la création des autochtones Guaranis au Paraguay. [...] C’est une œuvre de 35 minutes qui nous amène littéralement dans un voyage philosophique où chaque pièce s’enchaîne dans un mélange de chanson, d’électro-pop et de rock psychédélique. Et le journaliste Alain Brunet a dit d’Arriola que c’est l’un des artistes émergents les plus intéressants de la chanson francophone d’Amérique. Rien de moins ».”
“« Not only is Arriola a praised singer songwriter, he also holds a Ph.D in philosophy. His new album was inspired by the legends of the Guaranis, a group of indigenous people of south america. […] With his song « Première terre », « First land », Arriola invites us to see the world around us for the very first time, like it had just been created ».”
“« Ñamandu - 8.5/10
Un an et quelques mois après la parution du EP Déluge, Arriola propose son premier album complet Ñamandu; un projet multidiciplinaire audacieux. Concept comme dans Face A et Face B (vinyle en tête), comme dans enchaînement des chansons l’une dans l’autre, mais surtout comme dans ligne directrice forte et réfléchie et librement inspiré du mythe de la création des autochtones Guaranis du Paraguay, son pays d’origine. Voyage philosophique sur fond de rock progressif avec son lot de moments Beatlesques, Ñamandu est une œuvre stimulante et riche en textures sonores. Les mélodies offrent de nombreux changements de ton mais réussit à demeurer homogène en son ensemble. Les textes sont, quant à eux, immensément personnels, recherchés mais accessibles. « Mais comment peut-on continuer? Quand on sait ce qui nous attend Je ne peux pas supporter l’idée Qu’on s’aime autant temporairement » chante-t-il sur Quand vous viendrez nous chercher, exprimant toute la beauté et la finalité de la vie. »”
VIDÉOS
BIOGRAPHIE
Arriola est de retour avec un premier album complet intitulé Ñamandu (paru le 21 octobre 2022). Inspiré du mythe de la création des autochtones Guaranis par analogie avec son histoire familiale, il nous présente ici l’album-concept sur lequel il travaille depuis quelques années. Le résultat: une oeuvre de 35 minutes qui nous transporte dans un voyage philosophique où chaque pièce s’enchaîne méticuleusement d’une station à l’autre créant ainsi un mélange audacieux entre la chanson, l’électro-pop et le rock psychédélique. Pour réaliser ce nouvel opus, Arriola s’est encore une fois entouré de l’ingénieur de son Pascal Shefteshy (Arcade Fire, Peter Peter, Kroy) au mixage et, au mastering, Matt Colton, de Londres (Peter Gabriel, Thom Yorke, Coldplay, Muse).
Tout a commencé en 2011 avec un premier mini-album rock axé sur les guitares. Nourri par une année de réflexion et de création à Paris, où il compléta son doctorat en philosophie, cette aventure le mena notamment jusqu’au Festival Vue sur la relève et au FestiVoix de Trois-Rivières en 2013. C’est alors que le Nightlife Magazine le classe parmi les «5 artistes à découvrir» et qu’on souligne à la fois la qualité des harmonies vocales et les «textes philosophiques assumés» (Camuz). Un second maxi voit le jour à l’été 2014 et à partir de ce moment, un nouveau cycle de compositions débute. Alimenté par une collaboration étroite avec Jonathan Gagné (Topium, Propofol, ARIEL) à la réalisation, une migration du rock vers l’électro-pop s’est opérée.
C’est ainsi qu’est né En haut (2015), un mini-album qui charme et déstabilise par sa profonde recherche esthétique et l’intelligence de son propos. On parle alors d’une «électro pop pesante, doublée d’une jolie voix» (Feu à volonté) et d’un album à la fois lumineux et sombre dont «les mélodies respirent pour notre plus grand plaisir» (Poste d’écoute). La chanson Le virage connaît un succès radiophonique (plus de 60 radios à travers le Canada) et le vidéoclip se retrouve sur les ondes de Musique Plus.
Arriola nous offre ensuite Ma nouvelle théorie (2018), un mini-album à saveur électro-pop philosophique: «puisque le Québec a un besoin criant de paroliers de haute volée, on n’attendra pas la sortie d’un album complet d’Arriola pour souligner la qualité de sa plume, ses vertus phonétiques, son potentiel stylistique. Qui plus est, cet auteur sait explorer simultanément les profondeurs du réel et de l’inconscient à travers des tableaux poétiquement incarnés, qui respectent néanmoins les règles de la versification chansonnière» (Alain Brunet, La Presse). En rotation forte dans plus de 70 radios à travers le Canada et l’Europe, les chansons Tout est à sa place et Sans moi se taillent une place dans les palmarès. Le vidéoclip de Que cette journée ne s’arrête jamais est également nominé comme vidéoclip de l’année au GAMIQ 2019.